Souvent je te trouve
dans la forêt de mon
esprit.
Voici le printemps
éternel
qui ignore les vents
extérieurs
d'été, de l’hiver.
Les chansons d'oiseaux
coulent avec les ailes
de mon esprit
les fleurs avec leurs
teintes
sonnent ici dans les
vents
pour toujours.
Je suis un amoureux.
J'aime aimer.
Avec ma main dans la
tienne
j'écris mes lignes,
tu es Scarlet O 'Hara,
Matilda,
Madame Defarge, Jane
Eyre, mon Emma.
Eyeliners qui illuminent
tes yeux
rencontrent les larmes
tombent de l’amour, de
désespoir
deviennent l'encre dans
mon plateau
avec lequel je peins ..
Ô ma dame
comme les ruisseaux qui
courent
dans mes veines,
dans mes veines,
rôles de mère, fille,
amante
inévitablement dérivent
dans mon esprit;
car ils t'ont vu
dans l'euphorie, et dans
les angoisses
pour des générations.
Ta délimitation semble
fatiguée
avec ignominie et
insinuation.
La tempête des saisons a
battu
ta feuille
mais dans la page de mon
esprit
elle taquine les bois.
Je vois ta grâce
incomparable.
Avec la croyance,
j'écris tes histoires
méconnues et invisibles
méconnues et invisibles
parfois avec une
herbe-fleur
à d'autres moments avec
une flûte
ou en compagnie d’un
arc-en-ciel.
Ton état inégalable
de calme, malgré les
étapes
tu passes de chaque sens
du sort
dans la séparation ou
l'union de l'amour
l’exil et le royaume
est écrit sans cesse
par ton amant.
Il écrit sans relâche
son amour
dans le printemps
éternel à l'intérieur,
s'appuyant sur toi.
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